La filière de l’édition souffre mais cherche des solutions.

La France compte presque 5 000 éditeurs et 3 500 librairies pour qui le mois de décembre est crucial : « Le livre est le premier cadeau à l’occasion des fêtes de Noël », assure Guillaume Husson, délégué général du Syndicat de la librairie française. Mais comme beaucoup de secteur s l’industrie du livre est actuellement confrontée à une situation très complexe.  Une hausse inédite des coûts de fabrication. Cette flambée risque-t-elle de se répercuter sur le prix de vente final du livre ? Doit-on réinventer l’approche de notre loisir favoris ?

Edition d'ouvrages et coûts de production.

L’ augmentation des coûts des prix de l’énergie, des transports et des matières premières (papier, colle, pâte à papier, etc.) n’épargne pas les filières de l’édition et de l’impression du livre.

Le coût de la fabrication d’un livre, qui représente environ 15 à 20 % du prix HT du livre, a  augmenté de 20 à 40 % environ depuis l’été 2021*. C’est une hausse complètement inédite qui résulte d’un enchaînement d’événements [NDLR : inflation, prix du gaz et de l’énergie qui flambent depuis la guerre en Ukraine, etc.].

Les problèmes ne se substituent pas les uns aux autres ; ils s’additionnent. Par conséquent, l’ ensemble de la filière du livre est impacté durablement.

Conséquences : l’offre éditoriale va-t-elle se limiter ?

Un changement de paradigme pousse les éditeurs à la prudence. La crainte réside dans la mise en place d’une limite sécuritaire de l’offre éditoriale.

Effectivement, il ne sera pas possible d’éditer l’ensemble des créations. Une véritable révolution dans l’économie de l’édition jusqu’alors relativement libre de ses publications.

Certains indépendants en souffrent déjà puisque leurs catalogues sont principalement constitués d’ouvrages souvent peu connus du grand public. Les libraires sont d’une aide précieuse mais à ce jour la visibilité sur la mise en rayon est floue puisque la consommation de livres varie énormément.

 

Le consommateur face à l’augmentation des prix

Les gens vont-ils moins lire, parce que les prix en caisse augmente drastiquement ?

Jusqu’ alors, Le papier tenait encore bon ! Par conséquent, si nous constatons encore des augmentations des prix, les lecteurs vont encore plus se lancer dans le digital. L’incertitude économique et l’inflation qui accompagnent la période poussent les consommateurs à la prudence dans leurs dépenses.

En conclusion, la filière doit continuer de collaborer étroitement pour déterminer les solutions les plus adéquates afin de maintenir l’activité, l’emploi et offrir aux lecteurs une offre large et adaptée aux attentes. L’éco-conception, le numérique, travailler étroitement sur des prévisionnels font parties des solutions qui existent.

Pour plus d’informations, nous vous invitons à relire notre article sur l’éco conception : https://www.pca-cmb.com/blog/industrie-livre-ecoresponsable/

Une industrie du livre Ecoresponsable

La production de livre est consommatrice par la fabrication du papier utilisé. La confection de la pâte à papier demande beaucoup d’eau et d’énergie non-renouvelable. Afin de blanchir ou colorer le papier, de nombreuses substances chimiques sont également utilisées. A ce jour, il y a nécessité d’évoluer pour notre filière de l’édition.

La production d’un livre évolue, innove !

Rédigée en 2011 par Terre Vivante, l’étude du cycle de vie d’un livre a démontré que 71 % des impacts environnementaux sont liés à la fabrication (production de la pâte à papier et du papier, impression, transport), 17 % à la distribution, 10 % à la conception du livre et 2 % à la diffusion.

Avec le temps, ces impacts ont pu être partiellement atténués. Notamment l‘utilisation de fibres celluloses issues de forêts certifiées. Pour l’impression, de nouvelles encres ont été conçues à base de mélanges de produits végétaux. Très bonne nouvelle pour l’industrie du livre, ces encres permettent de nombreux avantages. Elles sont biodégradables et fabriquées principalement avec des matières premières renouvelables. Donc elles sont moins dangereuses pour l’homme

Des engagements pour une industrie plus écologique

Le dernier rapport d’activité du Syndicat National de l’Edition (SNE), les éditeurs et imprimeurs ont une tendance à la baisse concernant le volume de papier acheté depuis 6 ans. Le rapport met également en avant qu’en 2021, 95 % du papier acheté par les éditeurs est certifié PEFC (label Gardien de l’équilibre forestier) ou FSC ou recyclés : une hausse de 7 points de pourcentage par rapport à 2016. Cette progression importante démontre alors que les éditeurs sont de plus en plus attentifs aux papiers qu’ils achètent et aux volumes qu’ils consomment.

Afin de se tourner vers une consommation de plus en plus responsable, le transporteur Speed Distribution, le SLF, l’ADEME et le SNE proposent aux libraires de Paris une solution de transport de nuit éco-responsable. Pour accompagner cette nouvelle démarche, la ville de Paris s’engage auprès des librairies concernant l’accès aux librairies et la réduction des nuisances sonores. Cette démarche devrait se générer de plus en plus dans toute la France d’ici fin 2023.

Des labels reconnus pour le secteur de l'édition

Dans l’idée de faire évoluer l’industrie du livre vers une démarche écologique, les éditeurs et imprimeurs peuvent intégrer des labels reconnus :

  • Labels FSC et PEFC. Ces deux labels se tournent autour de la gestion de la forêt et de l’origine durable des fibres de bois utilisées dans les papiers.
  • Imprim’Vert. Lancée dans les années 90, cette marque française est une initiative privée. Pour se munir de cette initiative, les entreprises doivent respecter 5 critères :  la gestion rigoureuse des déchets dangereux, la sécurisation des stockages de liquides dangereux, non-utilisation de produits étiquetés  « toxiques », le suivi énergétique du site et la sensibilisation du public.
  • L’étiquetage Carbonne. En 2012, le groupe hachette a lancé les premiers livres porteurs d’un étiquetage carbone. L’étiquette indique l’origine des fibres du papier et de l’empreinte carbone spécifique de l’ouvrage (en gamme de CO2).
  • La charte des éditeurs écolo-compatibles. Cette initiative française est un regroupement d’éditeurs qui se sont penchés sur l’impact du marché du livre sur notre planète.

Les éditions écolo-compatibles

Les éditions écolo-compatibles existent depuis 2010. Il s’agit plus précisément d’un collectif constitué de huit structures éditoriales ayant pour objectif de « proposer des pistes de réflexion et d’action quant à l’empreinte environnementale et sociale de l’édition papier ». Le collectif est notamment composé des éditions La PlageRue de l’ÉchiquierLa SalamandrePlume de CarotteEditions TerranPour penser, le Souffle d’Oret Yves Michel.

A travers sa charte de l’édition écologique, les éditions écolo-compatibles mettent en avant quelques principes :

  • « Imprimer au moins 80 % de leur production éditoriale sur des papiers recyclés ou labellisés,
  • Imprimer au moins 80 % de leur production éditoriale à moins de 600 km de leurs lieux de stockage,
  • Donner à des associations ou à des actions d’accès à la culture plutôt que pilonner les ouvrages en fin de vie,
  • Et contribuer à des actions associatives en lien avec leur ligne éditoriale ».

Présent chaque année au salon du livre, le collectif souhaite également faire découvrir une large sélection de livres et guides pratiques afin d’inciter les Français à  se tourner vers un mode de vie plus écologiques et respectueux de la planète. Cette initiative n’est donc pas seulement un moyen de réduire l’impact de la production du livre. Mais elle permet indirectement d’avoir une influence sur l’environnement par l’apprentissage de la population d’un mode de vie plus vert.

Qu'est ce que l'écolo-conception ?

L’éco-conception est une démarche préventive visant à évaluer l’impact d’un produit sur l’environnement tout au long de son cycle de vie.  

C’est une approche à la fois multi-étapes (de la conception du produit à son traitement en fin de vie et multicritères, par une prise en compte des consommations de matières, d’énergie, des effets environnementaux, etc… 

Sur cette même approche, face aux questions environnementales, les éditeurs doivent repenser et optimiser leurs pratiques dans un esprit éco-responsable. C’est ce que nous appelons l’”éco-édition”.  

Cette démarche n’implique pas seulement l’éditeur, mais l’ensemble des acteurs tout au long de la chaîne du livre : de l’imprimeur à l’organisme de recyclage et jusqu’au lecteur ! 

La mise en place d’une démarche en éco-conception donne de nombreux avantages :  

  • Environnement : bien sûr, en premier lieu, cela permet de réduire l’empreinte écologique de l’activité éditoriale. 
  • Financier : en étant dans une logique du “juste nécessaire”, les dépenses sont aussi réduites : matériaux, énergie, réduction des déchets, optimisation de la logistique et du stockage… 
  • Image de l’entreprise : communiquer sur une démarche éco-responsable valorise l’image de l’entreprise vis-à-vis des lecteurs mais aussi des partenaires. 
  • Cohésion d’équipe : en demandant la participation de l’ensemble des services dans ce projet commun, cela permet de fédérer les salariés, qui se sentiront impliqués et donc plus motivés.  

Edition du livre et écologie, synthèse.

En bref, l’industrie du livre a su se développer ces dernières années pour se tourner vers des productions plus écologiques. Les éditeurs se tournent de plus en plus vers des papiers et systèmes d’impressions plus responsables. Enfin, l’impact écologique sur l’industrie des livres prend également en compte les lecteurs. Il est attendu d’eux qu’ils soient plus responsables sur leurs achats (quantité, distributeurs…). Pour tous les curieux, découvrez également notre article qui vous indique 7 étapes clés pour éditer un ouvrage écoresponsable.

PCA CMB et la rentrée littéraire 2022

Romans français, littérature étrangère, auteurs primés ou nouvelles plumes… Le marathon de la rentrée littéraire 2022 commence. Tous les ans,  plusieurs centaines de livres envahissent les présentoirs des librairies. Cette tradition, qui n’a pas faibli depuis le début du XXe siècle, s’explique facilement : elle permet aux auteurs et à leurs nouveaux romans de concourir aux nombreux prix parisiens – Goncourt, Femina, Renaudot, Interallié, etc . Ces prix ont lieu jusqu’à fin novembre. Pour cette édition 2022, un peu moins de 500 romans sont publiés. Nous retrouvons  Amélie Nothomb, Toni Morrison, Bruno Clavier (Ils ne savaient pas aux éditions Payot) ou Virginie Despentes (Cher Connard, Edition Grasset)

 

Pour une rentrée littéraire 2022 de  qualité PCA-CMB, s’organise tout l’année !

La rentrée littéraire nécessite une préparation importante pour les professionnels des agences prépresse. L’arrivée de cette période intense demande aux éditeurs et aux agences prépresse. un respect des délais irréprochable et une qualité de production maximale. C’est un évènement qui représente une part importante du chiffre d’affaires des professionnels de la presse.

Chez  PCA-CMB, nous organisons les équipes afin d’obtenir une production efficace.  Nous divisons nos équipes en trois secteurs :

– Littérature Générale (LG) : pour les ouvrages essentiellement composés de textes simples mais qui nécessite cependant une réelle expertise de la mise en page et du traitement de contenu    éditorial.

– Pratique : pour les ouvrages avec du texte, des images, des tableaux (livres scolaire, parascolaires, scientifiques, ressources humaines …)

Numérique : pour tous les ouvrages sous format numérique. (Prise en compte de l’accessibilité)

Parmi nos productions pour la rentrée littéraire 2022 , nous avons contribué avec nos éditeurs à plusieurs ouvrages :

– Trouver refuge de Ono-Dit-Biot Christophe aux éditions Gallimard
– Le Président se tait de Dreyfus Pauline aux éditions Grasset
– Long Island, Baby De Thierry Clermont aux éditions Stock
– Des femmes De Louise Dupin aux Editions Payot

Cette organisation nécessite des personnes qualifiées, chacune dans un domaine bien précis. Cela requiert des compétences spécifiques (Indesign, Photoshop etc..). En cas de surcroît d’activité, comme la rentrée littéraire, nous préparons notre équipe de manière spécifique. Objectif, optimiser au maximum notre productivité. Le respect des délais et la qualité de production sont les maîtres mots chez PCA-CMB.

Pour découvrir notre entreprise vous consulter ces infographies sur notre éco responsabilité ou sur notre organisation.

Le recrutement et son évolution dans le secteur de l’édition

Dans un contexte d’apprentissage tout au long de la vie, l’éducation et la formation sont un moyen irremplaçable de promouvoir l’adaptabilité et l’employabilité. cela renforce la notion  d’accomplissement personnel et professionnel. Chez PCA CMB l’investissement dans le capital humain par le biais du développement des capacités et des compétences est un axe important. Il importe d’anticiper les besoins  et les lacunes  en matière de compétences afin de préparer l’avenir. Il est nécessaire d’adapter davantage les connaissances, les compétences et les aptitudes aux besoins opérationnels. Cela renforce la compétitivité, la croissance et la cohésion au sein de nos entreprises.

 

Evolution des compétences au sein du secteur de l’édition

En raison de l’évolution de la nature des emplois, les connaissances techniques prédéfinies deviendront un peu moins importantes.  Les capacités d’adaptation et d’apprentissage de nouvelles compétences et la formation permanente seront au premier plan.

Certaines connaissances (notamment les compétences informatiques et de gestion de projets) seront de plus en plus importantes. D’autres compétences concernent principalement le savoir être comme apprendre, communiquer et dialoguer. Lors des recrutements les capacités d’adaptation à l’évolution des environnements sont particulièrement appréciées.

Il faut savoir que dans le secteur de l’édition les compétences initiales (techniques) sont nombreuses et ce en fonction de votre fonction d’origine. A titre d’exemple, on ne dénombre pas moins de 25 métiers. Alors oui bien évidemment, le socle de la formation initiale est important mais sachez que la plupart de ces métiers convergent et demandent au candidat une polyvalence et une bonne capacité d’adaptation pour gérer les différentes tâches du métier de la prépresse.

 

De quelles compétences en PREPRESSE parlent-on ?

En finalité on observe que beaucoup de compétences sont transposables d’une missions, voire d’un métier à l’autre. Plus que les compétences techniques (InDesign, Photoshop etc…), nous regardons chez PCA CMB les éléments suivants :

  • Compétences spécialisées et techniques : connaissances législatives/réglementaires (environnement/sécurité/travail/ contrats), compétences linguistiques*, compétences informatiques, compétences en marketing, connaissances techniques, connaissances des produits et développement de produits
  • Compétences sociales : compétences de travail en équipe, perception sociale (écoute/ compréhension)
  • Compétences de résolution de problèmes : compétences analytiques et interdisciplinaires, esprit d’initiative, polyvalence et créativité.
  • Compétences d’autogestion : planning, gestion du stress et du temps, flexibilité et polyvalence.
  • Compétences en gestion :  gestion du changement, gestion de projets, optimisation des processus, gestion de la qualité et qualités humaines essentielles à la gestion collégiale.

 

Afin de continuer à apporter à toutes et à tous des ouvrages de qualité, PCA CMB s’engage dans l’évolution de ses collaborateurs. Pour nous, il est important de promouvoir la création de réseaux et d’infrastructures de formation conjoints.

L’objectif est de maintenir à niveau les connaissances et les compétences des collaborateurs. Il faut et encourager  l’ apprentissages dans notre secteur de l’édition. Il est essentiel de stimuler la formation professionnelle continue. L’objectif, développer la polyvalence, et le renforcement des compétences.

Comment réduire l’impact environnemental de l’impression ?

L’ensemble des acteurs de l’édition innovent sur des sujets tels que l’Eco-conception, choix des encres, du papier, façonnage, tirage, promotion, distribution, gestion des flux… PCA CMB souhaite présenter certaines des solutions techniques et logistiques existantes pour réduire l’impact environnemental de l’édition de livres.

 

Secteur de L’EDITION : une charte environnementale

Le Syndicat national de l’édition (SNE) s’engage pour l’environnement à travers une charte de l’édition de livres. En 2018, 95 % du papier acheté par les éditeurs interrogés par le SNE est certifié PEFC ou FSC ou recyclé.

74 % du bois utilisé dans la fabrication de la pâte à papier provient des coupes d’éclaircies, nécessaires à l’entretien  des forêts. 26 % proviennent des chutes de l’activité de scierie.

100 % des ouvrages mis au pilon sont recyclés : le circuit du livre, de sa production jusqu’à son recyclage, est entièrement pris en charge et géré par la filière de manière industrielle.

Chacun des acteurs est pleinement engagé dans la préservation de l’environnement. Ils mènent des actions concrètes visant à réduire les impacts de la production littéraire.

(Source : COPACEL)

 

Economiser de l’encre grâce au choix de police d’écriture

L’encre est l’un des liquides les plus onéreux au monde : le tarif des d’encres peut donc être assez conséquent et le budget de la chaine de production de l’édition grimpe en flèche compte tenu des volumes de documents, ouvrages, et livres imprimés.

Des solutions simples permettent pourtant de limiter la consommation d’encre :

  • Diminuer la taille de police d’écriture ;
  • Choisir une police de caractère moins gourmande en encre, l’épaisseur de certaines pouvant consommer plus de précieux liquide.

Pour ce 2e point, des études ont été menées. Objectif :  comparer les différentes polices d’écriture utilisées en général sur des ouvrages divers de l’édition.

 

Les polices d’écriture les plus économiques

Selon notre expérience et après étude des tests réalisés par des spécialistes, voici quelques exemple de typographies intéressantes.

Ecofont, une police “verte”, à trous, créée spécialement pour réaliser des économies d’encre. La police Ecofont dite écologique se targue par exemple de pouvoir réduire la consommation d’encre de 25 % par page de texte. Comment ? Grâce à ses caractères discrètement ajourés !

Garamond, une police d’écriture qui a la côte depuis 2014. Lorsqu’un adolescent américain de 14 ans a conseillé à l’état américain d’utiliser cette police pour économiser de l’encre et préserver l’environnement.

Ryman Eco, une police de caractères pensée pour permettre d’économiser 33 % d’encre à l’impression selon ses créateurs, car elle est composée de traits fins au lieu d’une ligne épaisse.

 

Chez PCA CMB nous mettons en place une veille constante pour prendre en compte les évolutions : techniques, réglementaires, sociales et sociétales. Si vous avez des questions concernant nos méthodes et notre engagement au sein de la prépresse, nous vous invitons à nous contacter directement.

 

Édition et accessibilité : la chaîne du livre en perpétuelle évolution

L’accessibilité est une normalité dans beaucoup d’écosystèmes. L’univers du livre n’y fait pas exception. Dès 2025, la directive européenne rend obligatoire la production de livres numériques nativement accessibles au public empêché de lire.

Selon une étude du SNE (Syndicat National de l’Édition), seuls 5 à 10 % de la production éditoriale annuelle fait l’objet d’une adaptation.

Ainsi, les éditeurs repensent entièrement la chaîne du livre pour le rendre accessible à tous. L’adaptation du livre numérique, autrement appelé EPub est donc au centre des enjeux des prochaines années.

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La rentrée littéraire 2021 avec PCA CMB

Qui dit fin de l’été dit rentrée ! Nos adorables petits diables s’apprêtent à reprendre le chemin de l’école et nous celui du bureau, la littérature en fait de même. Chez PCA CMB nous avons travaillé ardemment en partenariat avec nos éditeurs pour cette nouvelle rentrée. Cette année, on ne dénombre pas moins de 521 romans qui compose la rentrée littéraire 2021. Comme à l’accoutumée, beaucoup de nouveaux ouvrages. Lire la suite

Edition et digital : les événements littéraires face à la Covid-19

Maillons indissociables du secteur de l’édition, les manifestations littéraires ont subi de plein fouet la crise sanitaire de la Covid-19. En raison de l’interdiction des rassemblements de plus de 5 000 personnes dans un lieu confiné, de nombreux événements ont été contraints d’être annulé, comme par exemple le salon Livre Paris, pour la seconde année consécutive.

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Ebook – Quelles perspectives d’avenir pour les livres numériques ?

A l’heure où le numérique est omniprésent, le marché du livre n’y a pas échappé. Les livres numériques offrant des options avantageuses pour la lecture, ont permis à l’édition numérique d’être en pleine croissance. Il est clair que les lecteurs français sont curieux d’essayer ce nouveau mode de lecture. On peut alors se demander : quelle est la place de l’édition numérique en France ?

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LA COVID-19 : Un nouveau chapitre pour l’industrie du livre

Alors que l’année 2020 était attendue comme une année très prometteuse notamment pour le marché du livre, la Covid-19 a bousculé quelques ambitions. C’est ce qu’on a tenté de déterminer dans cet article : les éditeurs ont-ils beaucoup perdu ? Est-ce que les auteurs sont tombés dans la page blanche ? Et surtout, les Français étaient-ils impliqués dans le marché du livre ?

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